La question du mariage est un sujet sensible à la Renaissance. Souvent mariages arrangés, obligés, d’intérêt alors que paradoxalement les humanistes mettent en avant le libre arbitre… Lire la suite
N’allons pas croire que, bon moine et religieux toute sa vie (il deviendra aussi curé de Meudon et de Saint-Etienne-du-Jambet), Rabelais ne connaissait rien aux femmes. Non ! Lire la suite
Parce qu’à l’origine il y a des histoires de calibistris (il s’agit des sexes, autant masculins que féminins). Lire la suite
Rabelais surprend, déroute, se moque, choque parfois, mais aussi il fait rire. Le grossier, le fantaisiste, l’invention ou les jeux de mots –contrepèterie, rimes, mots voisins- il aime. Lire la suite
Si le premier métier (métier plus que vocation) de Rabelais était d’être moine, il s’intéresse aussi de près à la médecine, faisant ses études à Montpellier puis exerçant à Lyon au début des années 1530. Lire la suite
« de bon vin on ne peut faire mauvais latin »
et autres citations complétant les propos de Rabelais sur le vin. Lire la suite
Rabelais était-il réellement porté sur la bouteille ? A priori rien ne permet de l’affirmer réellement. Lire la suite
Il y a dans Gargantua un épisode ou Rabelais fait rimer vin avec divin. Le goût du jeu de mot –toujours & encore) et la petite critique envers les moines (et leur lâcheté, ou disons leur perception différente face au combat) au passage. Lire la suite
Dès les premiers chapitres de Gargantua (donc de la saga des géants, même si, rappelons-le, Gargantua le père a été écrit après Pantagruel le fils) il est question de banquet, de ripaille et de boissons. Lire la suite